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Place des anti- inflammatoires non stéroïdiens dans les hémorragies digestives

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21M104.pdf (911.5Kb)
Date
2021
Author
Traoré, Awa
Metadata
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Abstract
BUT : Le but principal de ce travail était d’étudier la place des antiinflammatoires non stéroïdiens dans les hémorragies digestives dans le service d’hépato gastroentérologie. METHODOLOGIE : Il s’agissait d’une étude prospective et analytique qui s’est déroulée dans le service d’Hépato-Gastroentérologie du CHU Gabriel TOURE de juillet 2019 à juin 2020 et qui a porté sur tous les patients hospitalisés pour hémorragie digestive. Ces patients avaient bénéficié de la recherche des caractères sociodémographiques, de la notion de prise d’anti inflammatoire non stéroïdien (Dose et durée), d’un examen physique et d’une endoscopie digestive. RESULTATS : Au terme de cette étude, 44 cas de prise d’anti inflammatoire non stéroïdien sur 121 patients hospitalisés pour hémorragie digestive ont été colligés soit une fréquence de 36,4%. L’âge moyen de nos patients était de 44,9±17,5 ans avec un sex-ratio de 3. Les femmes au foyer et les ouvriers étaient les couches socioprofessionnelles les plus touchées. L’hématémèse était le motif de consultation dans 77,3%. L’hémorragie digestive et le tabagisme étaient les antécédents les plus retrouvés. Le Diclofénac était la molécule la plus utilisée dans 59,1% des cas avec une hémorragie qui survenait dans la 1ère semaine que la prise de l’anti inflammatoire non stéroïdien dans 52,3% des cas. L’hypotension artérielle, la pâleur et la tachycardie étaient les signes de choc hémorragique retrouvés respectivement dans 75% ; 68,2% et 45,5% de nos patients. L’anémie était associée à l’augmentation de la créatinine et à la cytolyse dans respectivement 40,5% et 33,3% des cas. L’ulcère était la cause retrouvée dans 68,4% des cas. Nous avons constaté une mortalité globale de 11,4%. L’hémorragie survenait significativement p=10-8 dans la 1ère semaine de la prise d’anti inflammatoire non stéroïdien et était significativement associée à la prise du Diclofénac (p= 0,000003) et de l’Ibuprofène (p=0,017). Il n’y avait pas de différence statistiquement significative quant à la survenue de décès par rapport aux molécules. Conclusion : L’hémorragie digestive de l’adulte est l’une des principales urgences digestives et demeure une cause de morbidité et de mortalité. La récidive était peu fréquente après traitement parles inhibiteur de pompe à proton.
URI
https://www.bibliosante.ml/handle/123456789/4723
Collections
  • Thèses d'exercice de médecine générale

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