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Vaginose et VIH dans les services de gynécologie obstétrique et d'infectiologie du CHU Point G de Janvier 2004 à Septembre 2006

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09M226.pdf (499.0Ko)
Date
2009
Auteur
Keita, Abdoulaye Makanfing
Metadata
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Résumé
Notre étude rétrospective et prospective s'est déroulées de janvier 2004 à septembre 2006 et a porté sur la vaginose et le VIH dans les services d'infectiologie et de gynécologie obstétrique du CHU Point G. L'objectif principal était d'étudier la prévalence des vaginoses au CHU Point G, et sa fréquence chez les séropositives. Il ressort de notre étude que : La prévalence de la vaginose était de 94,5 p.100 ► La prévalence globale du VIH était 95 p.100 ► La prévalence du VIH1 était de 87 p.100 ► La prévalence du VIH2 était de 10,5 p.100 ► La prévalence du VIH1+2 était de 2,5 p.100 ► La fréquence spécifique de la vaginose chez les patientes séropositives était de 99 p.100 . ► La tranche d'age [26-30] était la plus représentée avec 25 p.100 . ► Les signes cliniques de la vaginose rencontrés au cours de cette étude étaient dominés par - les leucorrhées fétides - prurit vulvaire avec souvent des lésions de grattage. ► A noter que le diagnostic était surtout bioclinique et bactériologique ► Les germes étaient présents dans le prélèvement vaginal dans 94 p.100 des cas ► 5 germes ont été le plus souvent rencontrés (Gardenella vaginalis, Candida albicans, Trichomonas vaginalis, Echericha coli, Klebsiella sp), avec une prédominance particulière de l'association Gardenella vaginalis-Echericha coli qui a été retrouvée chez 115 patientes sur 200 soit 57 p.100 des cas ► L'évolution était favorable dans 116 cas, et il y a eu 8 cas de décès. Toutes les patientes décédées étaient atteintes de vaginose et avaient un taux de CD4 inférieur à 200 cellules/mm3.
URI
https://www.bibliosante.ml/handle/123456789/8828
Collections
  • Thèses d'exercice de médecine générale

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