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dc.contributor.authorYoubi Ghembu, Danielle Leatitia
dc.date.accessioned2022-02-28T09:01:31Z
dc.date.available2022-02-28T09:01:31Z
dc.date.issued2021
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/5200
dc.description.abstractIntroduction : Le marché mondial des cosmétiques connaît un développement constant marqué notamment par l’infinie diversité des aspirations des consommateurs et nourrit par l’innovation et une modernisation prodigieuse. Le marché africain de la beauté et des soins personnels a été estimé à 7,5 milliards d’euros en 2018 et il augmente actuellement au rythme annuel de 8 à 10%. Objectif : Étudier le secteur des produits cosmétiques dans les officines de Bamako. Méthodologie : Ainsi, nous avons réalisé une étude prospective, transversale et descriptive sur une période de 10 mois allant de février à novembre 2020. Sur un échantillonnage aléatoire, ont été inclus dans cette étude toutes les officines privées fonctionnelles du district de Bamako en 2019. Les données recueillies sur nos fiches d’enquête ont été saisies et analysées par le logiciel d’IBM, SPSS 22.0. Résultats : Les trois quart(¾)de nos grossistes importaient les produits cosmétiques et ont déclaré les acheminer principalement par voie maritime, 75% des grossistes tiennent compte de la sensibilité des produits lors du rangement. La plupart de nos officines (80%) a affirmé avoir des rayons de produits cosmétiques et celles ayant participé à notre enquête (90%) ont affirmé rencontrer régulièrement des ruptures de stocks chez les grossistes. Selon les pharmaciens, les prix élevés des produits cosmétiques et le personnel non qualifié étaient les principaux obstacles à l’émergence du secteur cosmétique à Bamako. La moyenne d’âge des consommateurs était de vingt-neuf virgule six (29,36) ans avec les extrêmes d’âge de douze ans et cinquante-deux ans. La fourchette d’âge la plus représentée était celle de vingt à trente-neuf ans. Ils s’approvisionnaient au moins une fois par mois et leur budget mensuel moyen était de vingt-sept mille trois cent quatre-vingt Fcfa avec les extrêmes allant de cinq mille (5 000) FCFA à plus de cinquante milles (50.000) Fcfa. Cinquante-six pour cent des consommatrices dépenseraient entre 10 000 à 50 000f CFA par mois en produits cosmétiques et les achetaient principalement en magasins spécialisés et en officines de pharmacies. Conclusion : Le secteur cosmétique est en voie de développement dans les officines de Bamako quoiqu’il reste confronté à des difficultés persistantes et systémiques pour la résolutifr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries21P75;
dc.subjectCosmétiquesfr_FR
dc.subjectPharmaciefr_FR
dc.subjectProduits cosmétiquesfr_FR
dc.subjectConsommateursfr_FR
dc.subjectOfficinesfr_FR
dc.subjectGrossistesfr_FR
dc.titleProduits cosmétiques dans les officines de Bamakofr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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