• français
    • English
  • français 
    • français
    • English
  • Ouvrir une session
Voir le document 
  •   Accueil de Bibliosante.ml
  • Université des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
  • Faculté de Médecine et d'Odontostomalogie
  • Thèses d'exercice de médecine générale
  • Voir le document
  •   Accueil de Bibliosante.ml
  • Université des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
  • Faculté de Médecine et d'Odontostomalogie
  • Thèses d'exercice de médecine générale
  • Voir le document
JavaScript is disabled for your browser. Some features of this site may not work without it.

Prise en charge des morsures de serpent : enquête auprès des Ménages dans les communes rurales de Koulikoro 2020-2021

Thumbnail
Voir/Ouvrir
21M137.pdf (1.672Mo)
Date
2021
Auteur
Dembélé, Chaka
Metadata
Afficher la notice complète
Résumé
Pendant cette étude, 211 cas de morsures de serpents ont été recensés. Le sexe masculin était le plus touché 72% des cas avec un sex-ratio égale à 2,58. L’âge moyen des victimes était de 34±16 ans. La plupart des victimes étaient des cultivateurs et des bergers avec respectivement 46,4% et 18%. Les adultes de 15 ans et plus selon la classification OMS étaient les plus touchés soit 93%. La plupart des morsures ont eu lieu pendant la saison des pluies 57%. Le serpent agresseur était identifié dans la plus plupart des cas soit 82% avec les vipères au sommet 62%. Cependant le tableau clinique était essentiellement en faveur du syndrome vipérin avec la douleur, les oedèmes et le saignement dans 72,5%. Le membre inférieur était le siège le plus fréquent des morsures avec un taux de 68%. Les victimes ont consulté les tradipraticiens avant leur admission en milieu hospitalier dans 75% des cas. Les principaux ingrédients utilisés étaient la pierre noire (31%), le beurre de karité mélangé avec l’exuvie (26%), les feuilles d’arbre (14%). Un nombre limité (16%) de participants avait recours au traitement médical et pour la majorité d’entre eux, ils n’avaient recours à ce traitement qu’en cas d’échec du traitement traditionnel ou les deux (39%). Nous avons constaté que 38% des victimes allait mieux entre 7 et 21 jours pour le traitement traditionnel tandis que 28,4% allait en moins de 7 jours mieux pour le traitement médical. Ces résultats prouvent que le traitement médical agissait plus rapidement que le traitement traditionnel. L’évolution était bonne dans 84,36% cas, avec une létalité spécifique 9,48%.
URI
https://www.bibliosante.ml/handle/123456789/4801
Collections
  • Thèses d'exercice de médecine générale

DSpace software copyright © 2002-2016  DuraSpace
Contactez-nous | Faire parvenir un commentaire
Theme by 
Atmire NV
 

 

Parcourir

Tout Bibliosante.mlCommunautés & CollectionsPar date de publicationAuteursTitresSujetsCette collectionPar date de publicationAuteursTitresSujets

Mon compte

Ouvrir une sessionS'inscrire

DSpace software copyright © 2002-2016  DuraSpace
Contactez-nous | Faire parvenir un commentaire
Theme by 
Atmire NV