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dc.contributor.authorDjossou, René Togni
dc.date.accessioned2020-09-21T11:58:37Z
dc.date.available2020-09-21T11:58:37Z
dc.date.issued2020
dc.identifier.other20P47
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/3973
dc.description.abstractDéfinition : La contraception est l’ensemble des méthodes utilisées par une femme pour prévenir la survenue d’une grossesse après un rapport non protégé. Elle contribue aussi de façon notoire à la réduction de la mortalité maternelle et infantile en permettant l’espacement des naissances. Il existe un ensemble de méthodes contraceptives occasionnelles (méthode hormonale ou mécanique…) qu’une femme peut utiliser dans les cinq premiers jours suivant un rapport non protégé pour prévenir une grossesse non désirée. Les objectifs de notre étude étaient : Décrire les caractéristiques sociodémographiques de la population d’étude. Déterminer le niveau de connaissances des élèves du lycée ASKIA MOHAMED sur la contraception de décembre 2019 à février 2020. Décrire les pratiques et attitudes des élèves du lycée ASKIA MOHAMED en matière de contraception de décembre 2019 à février 2020. Identifier les facteurs qui influencent la connaissance et les pratiques. Méthodes : Nous avons réalisé une étude descriptive et transversale qui s’étendait de décembre 2019 à février 2020 au lycée ASKIA MOHAMED de Bamako. Nous avons rempli la fiche d’enquête de chaque élève en se basant sur toutes les informations liées aux connaissances, attitudes et pratiques de la contraception. Résultats : Au total, nous avons enregistré 300 élèves en s’intéressant à leurs connaissances sur la contraception. La population masculine était majoritaire avec un pourcentage de 55℅ sur la population féminine avec un pourcentage estimé à 45℅. Au sein de notre population d’étude l’ethnie bambara était la plus représentative avec un taux estimé à 45,3%. La méthode de contraception utilisée la plus connue par les enquêtés est le préservatif (41,9%). Parmi nos enquêtés 7,7 % ont déjà utilisé au moins une fois une méthode de contraception. L’environnement socioreligieux (22,7%) et le manque d’information (15,7%) sur les méthodes contraceptives étaient les principales raisons de la non utilisation des méthodes contraceptives. Conclusion : La connaissance de la contraception n’équivaut pas à son utilisation pratique chez les élèves. L’enjeu reste de taille pour aider les adolescents à mieux appréhender la sexualité ainsi que la contraception afin de prévenir les problèmes qui en découlent notamment les grossesses non désirées et les maladies sexuellement transmissibles.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectCAP
dc.subjectContraception
dc.subjectLycée Askia Mohamed
dc.subjectGrossesse
dc.subjectMortalité maternelle
dc.subjectMilieu scolaire
dc.titleConnaissances, attitudes et pratiques de la contraception au Lycée Askia Mohamed de la Commune III de Bamako
dc.typeThesis


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