Syndrome coronarien aigu : aspects diagnostiques et pronostics au service de médecine et spécialités médicales de l’hopitalFousseini Dao de kayes

Abstract

un syndromes coronarie n aigue soit une fréquence hospitalière de 5,90 % . La tranche d’âge la plus répresentée était celle de [45 69] ans avec une moyenne d’âge de 60,28 ans ± 15,289 . Le sexe masculin était majoritaire soit 62,5% avec un sexe ratio H/F de 1,66. Les ménagères é t aient les plus représentées soit 22,5% des cas L’HTA et la sédentarité étaient les FDRCV les plus représentés soi t une fréquence respective de 68,57% et 4 5%. La coronaropathie était l’antécédent majeur soit 14,28% . La douleur thoracique et la dyspnée étaient les symptômes majeurs à l’admission, soit respectivement 87,5% et 62,5% des cas. La douleu r était angineuse typique dans 72,5 % des cas . L’irrégularité des BDC et la présence de B3 , B4 étaient les anomalies auscultatoires cardiaque les plus ret rouvé es respectivement dans 27,5% et 17,5%. (20%) présentaient des râles crépitant à l’admission ; 40% des patients presentaent des signes IC droite . le SCA ST était l’aspect électrique le plus représenté dans 60% des cas ; le territoire inferieure et ant érieure étendu dominaient à une fréquence respective 40% et 17,5% ; et l’onde Q de nécrose était présente dans 25% des cas . le trouble de la cinétique segmentaire était l’anomalie écho cardiographique la plus retrouvé à 65% des cas et qui était dominé p ar hypo kinésie segme ntaire ; la FEVG était Réduite dans 5% des cas. L a troponine était élevée chez 18 patients s oit 4 5% la presque totalités de nos patients ont bénéfici ées de traitement médical ( BASIC) soit à 100% . 10% des patients ont pu bénéficier de coro+stent ; et 2,5% de pontage aorto coronaire. L ’évolution en milieu hospitalier était marqué par la persistance des symptômes dans 22 ,5% des cas ; 4 cas de décès soit ont été enregistrer 12,5% ont presentés un trouble de rythme à types de( FA et TV) ; 2,5% un trouble de la conduction ; 7,5% un OAP . 2,5% une IRA . L’âge et le diabète étaient les facteurs de mauvais pronostics dominants.