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Etude épidemioclinique, thérapeutique et anatomopathologique de la grossesse extra-uterine au centre de santé de référence de la commune I.

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24M299.pdf (3.453Mo)
Date
2024
Auteur
Diarra, Seydou Bangolo
Metadata
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Résumé
Introduction : La grossesse extra-utérine (GEU) est une pathologie fréquente et grave, constituant l’une des principales causes de décès maternel au premier trimestre de la grossesse. Elle se définit comme étant la nidation et le développement de l’oeuf en dehors de la cavité utérine ; la localisation la plus fréquente étant tubaire. Objectif : Étudier les aspects épidémiocliniques, thérapeutiques et Anatomopathologiques des grossesses extra utérines au Centre de Sante de Référence de la commune I. Méthodologie : Notre étude s’est déroulée sur une période de 12 mois allant du 01 janvier 2023 au 31 décembre 2023. Résultats : La tranche d’âge 25-34 ans était la plus représentée soit 56% des cas, L’âge moyen était de 27,78 avec des extrêmes de 16 et 37 ans. L’ethnie Bambara était la plus représentée soit 46% des cas. Parmi nos patientes 72% résidaient dans la commune I. Dans notre étude, 72% de nos patientes étaient non scolarisées. Autres : fonctionnaire (3) ; Elève : (3) La plupart de nos patientes était les ménagères avec 66% des cas. Les femmes mariées étaient les plus représentées soit 96% des cas. Dans notre étude 34% de nos patientes étaient des pauci pares. Au cours de notre étude ,58% de nos patientes avait un ATCD d’infection urogénitale Les contraceptifs à base d’implant (lévonorgestrel) étaient utilisés par 8 patientes soit 16% des cas. La plupart de nos patientes sont venues d’elle –même avec 72% des cas. Le motif d’admission le plus représenté était la GEU rompue de diagnostique échographique, soit 72% des cas. Dans notre étude, 98% des cas avaient des douleurs pelviennes de même qu’une notion d’aménorrhée. Toutes nos patientes ont bénéficié des examens complémentaires (βHCG urinaire, Échographie pelvienne, Taux d’hémoglobine et le groupage rhésus). La majorité des patientes a présenté une GEU rompue, soit 88% des cas. La GEU droite était la localisation la plus fréquente chez nos patientes avec 54% des cas. La GEU ampullaire était la plus représentée soit 92% des cas. La salpingectomie subtotale a été le moyen de traitement le plus utilisé avec 78% des cas. Conclusion : La GEU constitue un problème de santé publique dans notre pays lié à une augmentation croissante de sa fréquence.
URI
https://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13790
Collections
  • Thèses d'exercice de médecine générale

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