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Aspects des prostatites en consultation dans le service d'urologie de l'Hôpital National du Point G : 121 cas

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98M23.pdf (2.815Mo)
Date
1998
Auteur
Diallo, Pathé Boubacar
Metadata
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Résumé
Notre étude est transversale. Elle s'étend sur une période de 15 mois allant d'octobre 1995 à décembre 1996 au service d'urologiede l'hôpital du Point G. Elle porte sur 121 cas de prostatite. Nos objectifs sont de : déterminer la fréquence des prostatites en consultation dans le service d'urologie de l'hôpital du Point G, -définir le polymorphisme clinique, -définir les critères diagnostiques de la prostatite, -déterminer les moyens thérapeutiques et donner quelques recommandations pratiques. Les prostatites représentent 17,0 p.100 de nos consultations externes. Elles constituent une des premières causes de consultation des jeunes en urologie. L'âge moyen de nos malades a été de 31,6 avec des limites d'âge allant de 17 à 61 ans. La symptomatologie clinique des prostatites est définie et pose des problèmes diagnostique et thérapeutique. Les signes fonctionnels le plus souvent rencontrés ont été : la protathorrhée (11, p.100), la douleur lombo-sacrée (1 p.100), la pésanteur pelvienne (9, p.100) et les brûlures mictionnelles (8, p.100). Les étiologies et antécédents avaient été inconstant au cours notre étude : la bilhorziose urinaire (35, p.100), l'urethrite gonococcique (20, p.100). Le diagnostic des prostites a été clinique dans 34, p.100 des cas, mais repose cependant surl'examen cytobactériologique des urines et des sécrétions prostatiques dans 65, p.100 des cas. Les germes retrouvés ont été le staphylocoque à coagulase négative (22, p.100), Escherichia coli (12, p.100) et le Neissaria gonorrhoeae (12, p.100). L'échographie transversale a été faite chez 37 patients où a montré une hypertrophie prostatique homogène avec calcification en faveur d'une prostatite chronique chez 25 patients (67, p.100). Enfin l'UCR a été effectuée chez 37 patients où elle a décelé un rétrecissement de l'urètre postérieur chez 25 patients. Le traitement de la prostatite a été long et difficile, fait en fonction de l'antibiogramme si un germe a pu être isolé avec une deuxième phase comportant des récidives.
URI
https://www.bibliosante.ml/handle/123456789/10139
Collections
  • Thèses d'exercice de médecine générale

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