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Impact de la riziculture irriguée sur l'épidémiologie du paludisme dans la Zone de l'Office du Niger au Mali

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97M38.pdf (7.603Mo)
Date
1997
Auteur
Sagara, Issaka Amakaye
Metadata
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Résumé
Nous avons effectué une inférieur à étude paludométrique supérieur à à inférieur à Niono supérieur à dans la zone irriguée de l' inférieur à Office du Niger supérieur à et dans la zone non irriguée. L'étude s'est déroulée en 3 passages transversaux : un passage pendant la inférieur à saison des pluies supérieur à (septembre 1995), un passage en inférieur à saison sèche chaude supérieur à (Avril 1996) et un autre passage en saison des pluies (septemebre 1996). Cette étude paludométrique comportait une inférieur à enquête parasitoclinique supérieur à, et une inférieur à enquête socio-anthropologique supérieur à. La population cible était constitué des enfants de 0-14 ans pour la partie parasitoclinique et des sujets de 7 ans et plus pour la partie socio-anthropologique. Les résultats ont montré que l'irrigation artificielle pour la double riziculture n'a pas entraîné une augmentation des indicateurs paludométriques : l' inférieur à indice plasmodique supérieur à (38,5 p.100) en zone irriguée contre 64,4 p.100 en zone non irriguée, (P inf. a 10. 7)l'indice splénique (14,1 p.100 en zone irriguée contre 19,4 p.100 en zone non irriguée, P egal a 0,01), les fortes inférieur à parasitémie supérieur às (2,3 p.100 en zone irriguée contre 5, p.100 en zone non irrigée, P egal a 0,001) et les inférieur à accès palustre supérieur às (1,7 p.100 en zone irriguée contre 7,1 p.100 en zone non irriguée, P egal a 7x10. 7) ; qui étaient plus faibles dans cette zone irriguée en saison des pluies (Septembre 96). Le pic de transmission dans cette zone irriguée se faisait en saison sèche chaude (taux d'inoculation plus élevé) avec quelques indicateurs paludométriques comme les fortes parasitémies (2,8 p.100 en zone irriguée contre 0,6 p.100 en zone non irriguée, P egal a 0,0002) et les accès palustres (8,7 p.100 en zone irriguée alors que nous n'avions pas trouvé de liaison statistiquement significative entre la fièvre et une classe quelconque de charge parasitaire en zone non irriguée pour ce passage) qui étaient plus élevés que ceux de la zone non irriguée. En effet le paludisme était mésoendémique en zone irriguée (IP egal a 40,1 p.100) et hyperendémique (IP egal a 62,2 p.100) en zone non irriguée. Le taux d'analphabetisme bien que inquiétant était relativement moins élevé en zone irriguée (67,91 p.100 en zone irriguée contre 62,2 p.100 en zone non irriguée). L'entité nosologique inférieur à Sumaya supérieur à était plus fréquement utilisé dans la zone irriguée (86,36 p.100 en zone irriguée contre 47?0 p.100 en zone non irriguée) pour désigner un état palustre. La cause populaire de cette maladie bien très diversifié était attribuée fréquement aux moustiques et aux aliments doux. Les sujets de cette zone irriguée sont majoritairement conscient que les moustiques transmettent le paludisme (50 p.100 en zone irriguée contre 10,88 p.100 en zone non irriguée) et la inférieur à moustiquaire supérieur à était le moyen de protection le plus fréquemment utilisé. La inférieur à chloroquine supérieur à était le principal médicament utilisé en cas de symptomatologie palustre (57,31 p.100 en zone irriguée contre 51,53 p.100 en zone non irriguée) et le traitement se faisait le plus souvent incorrectement, mais la prise en mauvaise dose de cet antimalarique était plus fréquente dans la zone non irriguée (94,05 p.100 en zone non irriguée contre 84,96 p.100 en zone irriguée). Le tablier était la source d'approvionnement principale pour ce produit dans les deux zones (62,72 p.100 en zone irriguée contre 56,28 p.100 en zone non irriguée). Le taux de prévalence du inférieur à prurit supérieur à lié à la prise de la chloroquine était relativement élevé en zone irriguée (33,06 p.100 en zone irriguée contre 25,54 p.100 en zone non irriguée). Bien que la tradithérapie reste le recours thérapeutique le plus fréquent en cas de convulsions chez l'enfant ; elle reste cependant relativement moins pratiquée dans cette zone irriguée (47,14 p.100 en zone irriguée contre 63,24 en zone no irriguée).
URI
https://www.bibliosante.ml/handle/123456789/10113
Collections
  • Thèses d'exercice de médecine générale

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