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dc.contributor.advisorCoulibaly, Mamadou Tidiani
dc.contributor.advisorOuattara, Zanafon
dc.contributor.authorKanté, Diarah
dc.date.accessioned2019-03-19T00:17:19Z
dc.date.available2019-03-19T00:17:19Z
dc.date.issued2014
dc.identifier.other14M239
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/652
dc.description.abstractObjectif: Déterminer la fréquence de la colique néphrétique dans le service ; identifier les principales étiologies et déterminer l'apport de l'imagerie dans le diagnostic étiologique. Patients et méthodes : Nous avons réalisé une étude prospective de 12 mois (janvier-décembre 2010) dans le service d'urologie du CHU Gabriel Touré incluant tous les patients admis pour colique néphrétique. Résultats : Nous avons colligé 44 cas de colique néphrétique qui ont représenté 0,67 p.100 des consultations. La moyenne d'âge était de 31,59 ans avec un écart-type de 14,54 ans et le sex-ratio 1,75. La plupart des patients ont été observés pendant le 2ème trimestre de l'année, soit 40,91 p.100 avec un pic dans le mois d'avril. La présentation clinique la plus fréquente était la douleur lombaire unilatérale à type de broiement, d'intensité sévère (93,18 p.100 des cas), permanente, irradiant vers les OGE (86,36 p.100 ), accompagnée de vomissements et d'agitation. Un ATCD de colique néphrétique a été retrouvé chez 45,45 p.100 des patients. La lithiase a été l'étiologie la plus rencontrée, soit 59,10 p.100 suivie de la sténose urétérale avec 18,18 p.100 . Le couple ASP-Echographie a une sensibilité presque à 100 p.100 pour le diagnostic de la colique néphrétique dans notre étude. L'infection urinaire était associée dans 50 p.100 des cas. Le traitement médicamenteux a consisté à l'administration d'antalgique (100 p.100 ), d'AINS (79,54 p.100 ) et d'antispasmodique (29,54 p.100 ). La réimplantation urétéro-vésicale (31.82 p.100 ) a été la technique la plus pratiquée. Sur 22 patients opérés, les suites opératoires ont été simples dans 95.45 p.100 des cas et 1 cas de récidive de sténose urétérale. Conclusion : La colique néphrétique est un motif fréquent de consultation en urologie. La lithiase urinaire est la cause la plus fréquente de la colique néphrétique selon notre étude ; une attention particulière doit être fixée sur la bilharziose urinaire dont les séquelles ont été la 2ème cause.fr_FR
dc.subjectColique néphrétique
dc.subjectMaladies du rein
dc.subjectPrise en charge de la maladie
dc.titlePrise en charge de la colique néphrétique dans le service d'urologie du CHU Gabriel Touréfr_FR


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