Afficher la notice abrégée

dc.contributor.authorCoulibaly, Soumana
dc.date.accessioned2021-12-09T10:43:43Z
dc.date.available2021-12-09T10:43:43Z
dc.date.issued2015
dc.identifier.other15M238
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/4996
dc.description.abstractL’étude a porté sur 279 malades hospitalisés dans le service de médecine générale de l’Hôpital Nianankoro Fomba de Ségou pour Maladies cardio-vasculaires. Il s’agit d’une étude prospective et descriptive type transversale allant du 05 septembre 2012 au 05 août 2013. L’objectif général était d’étudier la morbidité et la mortalité cardio-vasculaire dans le service de médecine de l’Hôpital Nianankoro de Ségou. Méthodologie : Elle a consisté à recueillir des informations sur tous les malades hospitalisés pour maladie cardio-vasculaire dans le service de médecine générale de Ségou de septembre 2012 en Aout 2013 à partir des données de : - l’interrogatoire des patients ou des proches des patients (dans les cas de coma ou d’aphasie) - l’examen Clinique du patient - Les examens Para-cliniques. Résultats : L’étude a révélé que la morbidité cardio-vasculaire représentait 28,56%. Les femmes prédominaient avec 53,40 % contre 46,60 % chez les hommes. La tranche d’âge 60 à 89 était majoritairement représentée, l’âge moyen était de 54 ans. La majorité des patients avaient une résidence rurale soit 61,3%. Les groupes nosologiques dominant étaient :  l’HTA avec une fréquence de 47,73 % ;  la CMD primitive occupait le 2er rang avec une fréquence de 16,24 % ;  l’AVC non hypertensif a constitué 8,77 % ;  la CMPP représentait 8,44 %. La mortalité cardio-vasculaire globale dans l’étude était de 24,37 %. Cette surmortalité dans la série pourrait s’expliquer par : - Le fort taux des pathologies meurtrières ; - L’étroitesse du plateau technique et l’état d’indigence des malades. La mortalité était à prédominance féminine (57,35 %). La majorité des patients décédés avaient un nouveau socio-économique faible (72,06 %) et 47,06 % se situaient dans la tranche d’âge 60 - 89 ans. L’AVC non hypertensif était l’affection cardio-vasculaire la plus meurtrière (29,63 %), puis l’HTA avec une fréquence de 19,73 %.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectSanté publique
dc.subjectMaladies cardio-vasculaires
dc.subjectMorbidité
dc.subjectMortalité
dc.subjectMédecine générale
dc.subjectSégou
dc.titleMorbidité et Mortalité des maladies cardiovasculaires dans Le Service de Médecine Générale de L’hôpital Régional de Ségou.
dc.typeThesis


Fichier(s) constituant ce document

Thumbnail

Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)

Afficher la notice abrégée