Il s'agit d'une étude de cohorte, se déroulant dans le service de médecine interne du CHU de la Pitié-Salpétrière sur unc période de 6 mois. Elle a concerné 10 patients sur 711 patients immunodéprimés au VIH en suivi régulier. L'Objcctif général consistait à évaluer l'efficacité virologique de l'association raltegravir-étravirine dans le cadre d'une simplification thérapeutique dans la prise en charge du vih. L'âge médian était de 46 ans avec un intervalle interquartile (IQR) entre [41-55]. Le sexc masculin était le plus représenté avec un sex ratio de 1,25. La duréc médiane du traitement ARV était del4 ans avant le changement de protocole avec un IQR [9-17]. Le motif du changement thérapeutique était: un échec virologique dans 40% (n-4), une toxicité médicamenteuse dans 30 % (n=3) dont un cas de lipodystrophie, une interaction médicamentcuse dans 20% (n=2), une simplification du traitement dans 10% (n=1). Le suivi médian était de 6 mois avec IQR [3-6]. Avant la bithérapie, 40% (4 patients) avajent des CV indétectables, 50% (5 patients) étaient à moins copies et 10% (1 patient) à plus de 1000 copies. de 100 Au bout de 3 mois de suivi tous les patients avaient une CV indétectables sauf un seul qui avait moins de copies. A 6 mois toutes les CV étaient indétectables. 100 Aucun échec virologique n'a été observé au cours du suivi. Une bonne tolérance a été observée chez tous les patients. Une baisse des triglycérides, du cholestérol total et particuliérement du LDL cholestérol de 3,1 mmol/l avec IQR [2,6-3,3] avant le switch et de 1,8 mmol/IIQR [1-3,3] après le switch. un MOTS CLES : Efficacité virologique, bithérapie raltegravir-étravirine, médccine interne, CHU Pitié-salpétrière, Paris.