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dc.contributor.advisorOuattara, Zanafon
dc.contributor.authorSylla, Emile K.
dc.date.accessioned2019-03-19T00:20:05Z
dc.date.available2019-03-19T00:20:05Z
dc.date.issued2015
dc.identifier.other15M55
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/971
dc.description.abstractLa diversité des étiologies des dilatations des voies excrétrices supérieures et des limitations des investigations dans l'exploration de la fonction rénale au Mali ont constitué le principal motif de cette étude. Cette Etude concernait les patients à dossiers complet et présentant des dilatations des voies excrétrices supérieures et nous avions exclus les autres pathologies des voies excrétrices et tous les dossiers incomplets. L'étude a été prospective et concernait 40 cas des dilatations des voies excrétrices supérieures et qui ont été admis et traités à cet effet dans le service d'urologie du CHU.G. Touré entre Avril 2013 et Mars 2014, soit 8,2% de l'ensemble des interventions chirurgicales. La majorité des patients était de sexe masculin soit 60%. L'âge moyen de nos malades etait de 37ans dont les tranches d'âge de 21‐40ans. Les motifs de consultation les plus fréquents ont été des douleurs lombaires avec 75% ; hématurie 7,5%, pollakiurie 5% ; dysurie 5% ; rétention chronique d'urine 5% ; rétention aigue d'urine 2,5%. La bilharziose uro‐génitale a été l'ATCD médical la plus fréquente (50%) suivie de l'urétrite (17,5%).Les ATCD chirurgicaux urinaires soit (10%) et non‐urinaires (7%). L'échographie des voies urinaires a objectivé 18 cas de dilatation bilatérale des cavités rénales soit 45%,12 cas de dilatation des cavités rénales droites 12% et 10 cas de dilatation des cavités rénales gauche à 25%,les germes les plus fréquemment rencontres à l'E.C.B.U ont été l'Escherichia(35%) et le proteus mirabilis( 12,5%). La creatininemie était avant l'intervention normale dans 70% et 95% après traitement chirurgical.les principales étiologies probables ont été : les séquelles de bilharziennes (17), lithiases urinaires(12) adénome de la prostate(2) ; syndrome de jonction pyélo‐urétérale droite(5). Les principales techniques opératoires utilisées ont été : la réimplantation urétéro‐vésicale en trompe d'éléphant et de cohen (42.5%), néphrolithotomie, pyélolithotomie, urétérolithotomie(30%), adénomectomie 5%, pyéloplastie par technique Anderson Kysshynes (12,5%). Les suites opératoires immédiates ont été favorable chez 37 patients, avec un cas de fistule vésico‐cutanée, et 2 cas de suppuration de la plaiefr_FR
dc.format.extent75 p.
dc.subjectVoie excretrice supérieure
dc.subjectUrologie
dc.subjectVoies excrétrices
dc.titlePrise en charge des dilatations des voies encrétrices supérieures au Service d'Urologie du CHU Gabriel Touré'fr_FR


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