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dc.contributor.advisorSy, Assitan Sow
dc.contributor.authorSagara, Souleymane
dc.date.accessioned2023-08-04T17:18:43Z
dc.date.available2023-08-04T17:18:43Z
dc.date.issued2009
dc.identifier.other09M489
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/9009
dc.descriptionThèse d'exercice : Médecine : Bamako : 2009
dc.description.abstractNotre étude cas-témoins visant à étudier les conséquences obstétricales de l'excision au pays Dogon s'est déroulée au centre de santé de référence de Bandiagara du 1er Février 2008 au 31 Janvier 2009 soit 12 mois. Trois types d'excision ont été retrouvés dans l'étude avec 90,7 p.100 de fréquence pour le type II. L'ethnie Dogon est majoritaire, tout en sachant que c'est un milieu Dogon. Les femmes ont déclaré pratiquer l'excision pour des raisons sociales et religieuses en majorité. 57,9 p.100 des femmes ignorent l'existence de complications liées à l'excision. Dans 5,7 p.100 des cas, l'opérateur est un agent de santé. Nous avons également recensé des cas de chéloides et de fistules vésico-vaginales. 85 p.100 des femmes excisées et 15,7 p.100 des non excisées projettent d'exciser leur fille. 15,7 p.100 des nouveau-nés des femmes excisées ont eu une SFA. 40 p.100 des nouveau-nés des mères excisées ont été réanimés. 2,1 p.100 de décès néonatal chez les femmes excisées. 27,1 p.100 des femmes excisées ont séjourné plus de 3 jours dans le service. Toutes ces données nous permettent de penser que l'excision est une pratique néfaste à la santé de la mère et de l'enfant.et que la lutte contre l'excision reste encore une chose ardue.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité de Bamako
dc.subjectExcision, Infilation, Chéloidide, Prolongation travail hémorragie, Mortalité
dc.titleConséquences obstétricales de l'excision au pays Dogon A propos de 280 cas
dc.typethesis


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