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dc.contributor.advisorTouré, Mahamadou
dc.contributor.authorCoulibaly, Youlouza
dc.date.accessioned2019-03-19T00:18:15Z
dc.date.available2019-03-19T00:18:15Z
dc.date.issued2015
dc.identifier.other15M16
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/798
dc.description.abstractLes pathologies pédiatriques sont multiples et variées et peuvent intéresser l'ensemble des organes. Le scanner pédiatrique doit être décidé minutieusement du fait du risque d'irradiation, et de la grande sensibilité de l'enfant à l'irradiation. Une bonne préparation de tous les enfants (la prémédication, le counseling, et la contention) est nécessaire ainsi qu'une une sédation pour les enfants de 6 mois à 45 ans et ceux qui sont agités. L'apport du scanner dans la mise en évidence et la caractérisation des pathologies pédiatriques n'a pas été étudié dans le service de radiologie du CHU du Point G. Nous avons formulé l'hypothèse de recherche selon laquelle le scanner pédiatrique est aussi fréquent dans notre lieu d'étude. Nous avons réalisé une étude de fréquence rétrospective allant de janvier 2010 à décembre 2012 dans le service de radiologie du CHU Point G portant sur 372 cas. Nous avons trouvé que la fréquence annuelle des examens scanographiques était la plus élevée en 2010 (169/372) et décroissait de façon significative de 2011 (128/372) à 2012 (75/372). Le traumatisme crânien avait été le motif de demande de scanner le plus fréquent avec 12,4% (46/372) des cas. Nos patients ont été mis sous Propofol pour anesthésie générale dans 74,2% (276/372) des cas. La TDM hélicoïdale a été la plus réalisée dans 369/372 soit 99,2% des cas. La TDM cérébrale a été demandé dans 273/372 soit 73,4% des cas. L'acide loxitalamique a été utilisé comme produit de contraste dans 288/295 soit 97,6% des cas. Ainsi, le scanner était normal dans 136/372 (36,6 %) des cas; 56/372 (15,1%) des cas étaient des lésions traumatiques; 33/372 (8,9%) des cas de lésions infectieuses; 29/372 (7,8%) des cas de lésions dégénératives; 28/372 (7,5%) des cas de lésions malformatives; 26/372 (7%) des cas de lésions tumorales et aucun diagnostic étiologique dans 28/372 (7,5%) des cas. En conclusion, le scanner pédiatrique était plus fréquent que prévu. Ce qui interpelle les demandeurs à être rigoureux dans la prescription du scanner chez les enfants tout en fournissant les renseignements cliniques détaillés et précis.fr_FR
dc.format.extent90 p.
dc.subjectTomodensitométrie
dc.subjectPathologie pédiatrique
dc.titleApport de la tomodensitométrie dans le diagnostic des pathologies pédiatriques au CHU du Point G : étude rétrospective sur 3 ans (janvier 2010 à décembre 2012)fr_FR


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