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dc.contributor.advisorDiop, Samba
dc.contributor.authorTraoré, Chaka Ousmane
dc.date.accessioned2019-03-19T00:17:37Z
dc.date.available2019-03-19T00:17:37Z
dc.date.issued2014
dc.identifier.other14M59
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/705
dc.description.abstractBut : Etudier en détails les soins traditionnels chez les enfants de 0 à 3 ans. Méthode : Il s'agit d'une étude transversale à visée descriptive qui s'est déroulée du 15 jan- vier au 15 décembre 2013 en commune II du district de Bamako sur un échantillon de 240 enfants et 20 tradipraticiens. Résultats : 90 p.100 des enfants avaient déjà reçu des soins traditionnels ; généralement faits de décoctions de plantes, de massages corporels avec du beurre de karité d'amulettes. Les mères dans 96.7 p.100 des cas.se disaient utilisatrices de soins traditionnels et évoquaient ma- joritairement la dimension culturelle ou spirituelle et non le coût facile comme motifs de re- cours car la médecine traditionnelle holiste prend en compte l'aspect curatif mais protège aussi les enfants contre les mauvais esprits, sorts et renforcent l'immunité. 47 p.100 des mères souhaitaient l'implantation d'une unité de soins traditionnels dans leur centre de santé com- munautaire. Les soins traditionnels infantiles est le domaine des femmes thérapeutes et des grand-mères de famille 85 p.100 des tradipraticiens entaient des femmes ayant acquis leur savoir principalement par transmission et elles ont cité 43 plantes couramment utilisées dans les recettes chez les enfants. Les maladies diarrhéiques associées ou non aux troubles de la denti- tion (-Kɔnɔbɔli- Kolobɔsoit 27.98 p.100 ). les troubles digestifs du nouveau-né (Finfini 15.64 p.100 ) le paludisme (sumaya 15.14 p.100 ) étaient les principales pathologies rencontrées. 90 p.100 des tradipra- ticiens ont affirmé référer des enfants vers la médecine moderne et 40 p.100 recevaient souvent des enfants référer par des agents de santé. Seul 15 p.100 des tradipraticiens avaient fait un test de toxicité ou avaient une preuve scientifique du degré de toxicité d'une de leurs plantes. Conclusion : Les tradipraticiens sont largement solliciter du faite de la dimension culturelle ou spirituelle de leur pratique et prennent en charge surtout les troubles de la dentition (kolobo), le ballonnement du nouveau-né (finfini) et le paludisme (sumaya) et sollicitent le plus souvent la médecine moderne au besoin.fr_FR
dc.subjectEnfant
dc.subjectMédecine traditionnelles
dc.subjectTradithérapeutes
dc.titleMonographie des soins infantiles Traditionnels dans la commune II du dis trict de Bamako: Cas du quartier de Médina coura.fr_FR


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