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dc.contributor.authorDiarra, Aser
dc.date.accessioned2022-07-11T11:23:59Z
dc.date.available2022-07-11T11:23:59Z
dc.date.issued2022
dc.identifier.other22M122
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/5462
dc.description.abstractIntroduction : L’accouchement est l’ensemble des phénomènes qui ont pour conséquence la sortie du foetus et de ses annexes hors des voies génitales maternelles, à partir du moment où la grossesse a atteint le terme théorique de 6 mois (28 SA). Cet accouchement peut se faire par voie basse (accouchement normal) ou par voie haute (césarienne). Plusieurs fonctions interviennent dans le choix de la voie d’accouchement, il s’agit entre autre les conditions, le vécu de la gestante, l’expérience et le plateau technique. L’objectif de cette étude était de déterminer la préférence et les raisons du choix de la voie d’accouchement dans trois structures de santé de la ville de Ségou (CSRef Famory Doumbia, CSCom de Darsalam et CSCom de Pelengana Sud). Matériels et méthodes : C’est une étude transversale, descriptive et analytique de 12 mois, allant du 1er janvier au 31 décembre 2020 concernant les femmes ayant une grossesse âgée d’au moins 28 SA. Les données collectées ont été saisies et analysées à l’aide du logiciel IBM SPSS, version 20. Le test de Fisher a été le test statistique utilisé pour la comparaison, significatif si P ≤0,05. Résultats : Pendant la période d’étude, il y a eu 4943 consultations dont 2765 au CSREF Famory Doumbia, 1601 au CSCom de Darsalam et 577 au CSCom de Pelengana Sud. Notre échantillon représentait 4 % des consultations prénatales soit 200 cas. Parmi les 200 gestantes, 195 (97,5 %) ont exprimé une préférence pour l'accouchement par voie basse tandis que 5 (2,5 %) gestantes ont exprimé une préférence pour la césarienne. L'accouchement par voie basse était perçu comme plus naturel (95,9 %), moins risqué (77,4%), renforçait le lien mère-enfant (66,7 %) et permettait une courte durée d’hospitalisation au centre de santé (97,4 %). La majorité (89,0 %) de nos gestantes ont accouché par voie basse contre 11,0 % par césarienne. Toutes les femmes (n=5) préférant accoucher par césarienne le justifient par l’aspect moins risqué (100 %) et moins douloureux (100 %) ; certaines femmes ont également mentionné que l’accouchement par césarienne était plus simple (80 %). Conclusion : Malgré une forte préférence pour la voie basse certaines ont accouché par césarienne, il n’existe pas d’association statistiquement significative entre la voie d’accouchement préférée et la voie d’accouchement au final quel que soit la parité et le niveau d’instruction.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectGynécologie-obstétrique
dc.subjectPédiatrie
dc.subjectSanté publique
dc.subjectVoie d’accouchement
dc.subjectPronostic
dc.subjectCésarienne
dc.titleLe choix de la voie d’accouchement dans trois structures de santé de la ville de Ségou
dc.typeThesis


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