Afficher la notice abrégée

dc.contributor.authorHamidou Issa, Hama
dc.date.accessioned2022-06-08T08:41:26Z
dc.date.available2022-06-08T08:41:26Z
dc.date.issued2022
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/5387
dc.description.abstractIntroduction : La pandémie à COVID-19 complique les défis de santé publique mondiale avec les épidémies déjà préexistantes telles que celle du virus de l’immunodéficience humaine. Actuellement il existe peu d’informations sur l’association de ces deux maladies. Objectif : Etudier les aspects épidémio-cliniques et évolutifs de la COVID-19 chez les personnes vivantes avec le VIH dans le service des maladies infectieuses et tropicales du centre hospitalier universitaire du Point G. Méthodologie : Etude transversale descriptive à collecte rétrospective du 1er Avril 2020 au 31 Mars 2022 sur les dossiers des patients vivants avec le VIH hospitalisés au service de Maladies Infectieuses du centre hospitalier universitaire du Point G. Les données ont été analysées à l’aide du logiciel SPSS version 22. Résultats : Au total, 282 patients vivants avec le VIH ont été hospitalisé durant notre période d’étude ; parmi lesquels 32 ont été diagnostiqué positif à la COVID-19, soit une fréquence de 11,34%. L’âge moyen était de 40,9375 ± 10 ans avec des extrêmes de 25 et 63 ans. Les femmes étaient majoritaires à 59,38%. L’altération de l’état général était le motif le plus retrouvé à l’admission (62,5%). La toux, l’asthénie et la fièvre étaient les signes fonctionnels les plus fréquents avec respectivement 40,87%, 25% et 15,63%. Le muguet buccal était le signe physique le plus retrouvé (84,27%). La moitié de nos patients était au stade clinique III de l’OMS. Une immunodépression sévère avec un taux inférieur à 100 cellules/mm3 était présente chez 5 de nos patients. La majorité avait une charge virale supérieure à 1000 copies/ml. Le TDR et la RT-PCR étaient les examens complémentaires ayant le plus permis le diagnostic de la COVID-19 chez nos patients. La durée moyenne mis pour le diagnostic de la covid-19 en hospitalisation était de 9,9 jours. Dans notre étude, 12,5% de nos patients avaient eu besoins d’une prise en charge en réanimation. La majorité de nos patients était décédé (59%). Conclusion : L’infection à VIH ne semble pas modifier les caractéristiques cliniques de la COVID-19. Par contre notre une étude avec des patients vivants avec le VIH à différents stade clinique pourra permettre de conclure à l’influence du VIH sur les caractéristiques épidémio-cliniques de la COVID-19.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseriesMemoire;
dc.subjectVIHfr_FR
dc.subjectCOVID-19fr_FR
dc.subjectInfectionfr_FR
dc.subjectMaladies Infectieusesfr_FR
dc.titleCo-infection VIH-SRAS-Cov2 au service de Maladies Infectieuses du CHU Point Gfr_FR
dc.typeOtherfr_FR


Fichier(s) constituant ce document

Thumbnail

Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)

Afficher la notice abrégée