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dc.contributor.advisorDembélé, Jean Paul
dc.contributor.advisorDao, Sounkalo
dc.contributor.authorMfupa Tchana, Yannick
dc.date.accessioned2019-03-19T00:16:52Z
dc.date.available2019-03-19T00:16:52Z
dc.date.issued2014
dc.identifier.other14M115
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/532
dc.description.abstractL'objectif général de notre étude était d'étudier les aspects épidémiologiques, diagnostiques, thérapeutiques et évolutifs de la rage humaine. Il s'agissait d'une étude transversale avec recueil rétrospectif sur les données de l'année 2013. Résultats : Cinq cas de rage humaine ont été recensés (un enfant de 8 ans et quatre adultes) soit 0,011 p.100 des admissions dans un service de référence. La plupart des victimes provenaient de la région de Bamako (trois cas) et le sexe masculin représentait trois cas sur cinq. Les patients âgés de plus de 20 ans représentaient 80 p.100 . Les cultivateurs représentaient 40 p.100 . Dans la totalité des cas l'animal en cause était le chien et le type d'exposition la morsure. Soixante pour cent des victimes n'avaient bénéficié d'aucun traitement local et la totalité des patients d'aucune prophylaxie post exposition. Tous les patients ont présenté une forme furieuse survenue 36 à 92 jours après la morsure. Les extrémités des membres supérieures étaient le siège des lésions. Le délai médian entre l'apparition des premiers signes et le décès était de 6 jours. Aucune autopsie n'a été réalisée en vue du diagnostic post mortem. Tous les cas furent déclarés.fr_FR
dc.subjectRage humaine
dc.titleA propos de la rage Humaine au service des Maladies Infectieuses du CHU du Point G de Bamako.fr_FR


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