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dc.contributor.authorKeita, Maria
dc.date.accessioned2022-03-17T12:59:26Z
dc.date.available2022-03-17T12:59:26Z
dc.date.issued2022
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/5321
dc.description.abstractBUT : Le but principal de ce travail était d’étudier la place des anti-inflammatoires non stéroïdiens dans les hémorragies digestives dans le service d’hépato gastroentérologie. .Les Objectifs spécifiques étaient: -Déterminer la fréquence de la prise d’AINS dans les hémorragies digestives. -Décrire le tableau clinique d’une hémorragie digestive par AINS. -Déterminer les aspects évolutifs des hémorragies digestives liées à la prise d’AINS. METHODOLOGIE :Il s’agissait d’une étude prospective et analytique qui s’est déroulée dans le service d’Hépato-Gastroentérologie du CHU Gabriel TOURE de juillet 2019 à juillet 2021 et qui a porté sur tous les patients hospitalisés pour hémorragie digestive. Ces patients avaient bénéficié de la recherche des caractères sociodémographiques, de la notion de prise d’anti inflammatoire non stéroïdien (Dose et durée), d’un examen physique et d’une endoscopie digestive. RESULTATS :Au terme de cette étude, 78 cas de prise d’anti inflammatoire non stéroïdien sur 210 patients hospitalisés pour hémorragie digestive ont été colligés soit une fréquence de 37,1%. L’âge moyen de nos patients était de 47,01±19,3 ans avec un sex-ratio de 2,9.Les femmes au foyer et les cultivateurs ont représenté chacun 28,2% ; 20,5%. L’hématémèse était le motif de consultation dans 71,8%. L’hémorragie digestive et le tabagisme étaient les antécédents les plus retrouvés. Le Diclofénac était la molécule la plus utilisée dans 53,9% des cas avec une hémorragie qui survenait dans la 1ère semaine que la prise de l’anti inflammatoire non stéroïdien dans 53,9% des cas. Les signes de choc hypovolémique étaient fréquemment retrouvés. L’ulcère GD était la cause retrouvée dans 66,2% des cas. L’hémorragie survenait significativement p=10-8 dans la 1ère semaine de la prise d’anti inflammatoire non stéroïdien et était significativement associée à la prise des AINS. Nous avons constaté une mortalité globale de 12,8%.Il n’y avait pas de différence statistiquement significative quant à la survenue de décès par rapport aux molécules. Conclusion : L’hémorragie digestive de l’adulte est l’une des principales urgences digestives et demeure une cause de morbidité et de mortalité. La récidive était peu fréquente après traitement par les inhibiteurs de pompe à proton.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseriesMemoire;
dc.subjectHémorragie digestivefr_FR
dc.subjectAnti-inflammatoire non Stéroïdienfr_FR
dc.subjectUrgencefr_FR
dc.subjectHépatogastroentérologiefr_FR
dc.titlePlace des anti- inflammatoires non stéroïdiens dans les hémorragies digestivesfr_FR
dc.typeOtherfr_FR


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