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dc.contributor.authorkouyaté, Fodé
dc.date.accessioned2022-01-25T08:30:16Z
dc.date.available2022-01-25T08:30:16Z
dc.date.issued2022
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/5163
dc.description.abstractObjectif Etudier les aspects épidémiologique, clinique et pronostique de la rage humaine hospitalisés dans le SMIT du CHU point G. Méthodes Il s’agissait d’une étude Transversale a collecté rétrospective de l’année 2020-2021 dans le service des maladies infectieuses et tropicales du CHU point G. Les données épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques de chaque dossier de patient hospitalisé ont été recueillies sur des fiches individuelles établies à cet effet. La saisie du document a été faite sur le logiciel Microsoft Word 2016 et l’analyse à travers du logiciel SPSS version 22. Résultats Durant la période de Janvier à Novembre 2021, il a été enregistré 288 hospitalisations dont 05 cas suspects de rage humaine, soit une prévalence de 1,7%. La majorité de nos patients provenait hors de Bamako soit 80% des cas avec une tranche d’âge comprise entre 0-18 ans. L’animal mordeur était le chien dans la totalité des cas (100%). Tous les patients (100%) ont présenté la forme furieuse (spastique). Au cours de leur hospitalisation, 100% d’entre eux n’ont pas reçu de sérum antirabique et 20% à bénéficier du vaccin antirabique avec comme protocole Zagreb. Le décès a été notifié dans 100% des cas, aucune autopsie n’a été réalisée et tous les cas ont été déclarés. Les résultats de notre étude étaient comparables avec ceux de la littérature exploitée. Les membres supérieurs étaient les plus atteints avec 60 %, le délai d’incubation de60 jours était retrouvé dans 40 %. L’hydrophobie et agitation /insomnie était présente dans 100 %, suivi de céphalées 80%. Le diagnostic de certitude n’a été réalisé chez aucun de nos patients. Seulement 20% de nos patients aurait réalisé une prophylaxie post exposition. Le décès était constaté au maximum 3 jours après l’apparition des premiers signes Le décès était survenu dans 100 % des cas. Pour éradiquer la rage, une participation multisectorielle est nécessaire afin d’assurer une éducation communautaire et des campagnes de vaccination.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseriesMemoire;
dc.subjectInfectiologiefr_FR
dc.subjectRage humainefr_FR
dc.subjectLyssavirusfr_FR
dc.subjectMaladies Infectieusesfr_FR
dc.subjectÉpidémiologiefr_FR
dc.subjectCliniquefr_FR
dc.subjectThérapeutiquefr_FR
dc.titleAspects épidémiologique, clinique et pronostique de la rage humaine hospitalisés dans le service des maladies infectieuses et tropicales du CHU Point G 2020-2021.fr_FR
dc.typeOtherfr_FR


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