Afficher la notice abrégée

dc.contributor.authorKeïta, Irène Mariame
dc.date.accessioned2020-06-30T14:02:28Z
dc.date.available2020-06-30T14:02:28Z
dc.date.issued2020
dc.identifier.other20M84
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/3814
dc.descriptionThese d'exercice : Médecine : Bamako : 2020
dc.description.abstractIntroduction : Notre étude portait sur le paludisme et l’infection à VIH qui sont deux infections endémiques posant un sérieux problème de santé publique en Afrique subsaharienne. Elle avait pour objectif d'étudier les aspects épidémio-cliniques et diagnostiques du paludisme chez les PvVIH en hospitalisation au Service de maladies infectieuses du CHU du Point G. Méthodologie : Nous avons réalisé une étude prospective descriptive analytique allant du 1er Août 2018 au 30 Septembre 2019 sur une population de 80 patients séropositifs ayant une goutte épaisse positive hospitalisés dans le SMIT de CHU du point G. Résultats : Nos résultats montrent une fréquence de paludisme chez les PvVIH de 18,06 % (80/517) avec une population ayant un âge moyen de 41,60 ± 11,797 ans et un sex-ratio F/M de 1,05. La majorité des patients présentait un paludisme communautaire avec 83,8 % des patients. La proportion de nos patients séropositifs au VIH ayant fait un paludisme grave sous chimioprophylaxie au cotrimoxazole était de 81,2 % contre 18,8 % de ceux qui ont fait un paludisme simple. Seulement 20 % des TDR effectués sont revenus positifs sur la base d'une GE épaisse positive. Le taux moyen d'hémoglobine était significativement plus élevé chez les patients ne prenant pas de chimioprophylaxie au cotrimoxazole soit 8,70 ± 2,17 conte 7,68 ± 2,48 g/dl chez ceux étant sous chimioprophylaxie. La survenue d’un paludisme grave était majoritaire chez les patients ayant un taux de CD4<200 Cells/l soit 76,8 %, cependant il n'y avait pas de différence significative entre le taux de CD4 et la gravité du paludisme (Test de Fisher p=0,4). Nous n'avons pas retrouvé de différence statistiquement significative entre la survenue des décès et la gravité du paludisme (Test de Fisher p=0,207). Conclusion : Le paludisme est relativement fréquent et grave chez les PvVIH au Mali. Une prise en charge efficace et rigoureuse du VIH pourrait améliorer l'évolution du paludisme chez les PvVIH.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectMaladies infectieuses
dc.subjectParasitologie
dc.subjectVirologie
dc.subjectPaludisme,
dc.subjectVIH
dc.subjectCotrimoxazole
dc.subjectPvVIH
dc.subjectPoint G
dc.titleEtude épidémio-clinique et diagnostique du paludisme chez les PvVIH hospitalisés au service des maladies infectieuses au CHU du point G.
dc.typeThesis


Fichier(s) constituant ce document

Thumbnail

Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)

Afficher la notice abrégée