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dc.contributor.authorMoutiou, Issifou
dc.date.accessioned2020-01-10T12:05:35Z
dc.date.available2020-01-10T12:05:35Z
dc.date.issued2019
dc.identifier.other19P130
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/3733
dc.description.sponsorshipRésumé : Les infections urinaires constituent un véritable problème de santé publique tant par leur fréquence que par leur difficulté de traitement. Il existe quatre types d’infection urinaire : La cystite, urétrite, pyélonéphrite, prostatite. Le but de notre travail était d’évaluer les infections urinaires, de déterminer la prévalence des infections, d’identifier les facteurs de risques des infections urinaires et d’identifier les bactéries responsables d’infection urinaire chez les diabétiques. Matériel et Méthode : Il s’agissait d’une étude rétrospective et prospective qui s’est déroulé respectivement sur une période de 5 ans (du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2018) et l’étude prospective sur une période de 10 mois allant du 1er janvier 2019 au 31 septembre 2019. Nous avons colligé l’ensemble des patients diabétiques hospitalisés dans le service de médecine interne du CHU du Point G. Résultats : Au cours de notre étude nous avons enregistré 596 patients hospitalisés, 248 patients diabétiques, 227 patients non diabétiques et 123 patients diabétiques avec infection urinaire. Les femmes étaient les plus représentée soit 63,4% des cas avec un sex-ratio (F/M) = 1,73 ; La tranche d’âge de 60 ans et plus était la plus touchée soit 36,6% des cas et la moyenne d’âge était de 54,58 ±15,601 ans avec des extrêmes de 19 et 89 ans ; les ménagères ont représenté 43,9 % des cas ; la majorité des patients étaient mariée soit 73,2% des cas ; le déséquilibre glycémique était le motif d’admission le plus fréquent soit 22,8% des cas ; le thé était consommé par 78% de nos patients ; les antécédents familiaux ont été retrouvés dans 69,9% des cas ;nous avons noté une prédominance des diabétiques de type II soit 90,7% des cas ;les microangiopathies étaient le type de complication dégénérative dominant soit un taux de 43,9% ;l’Escherichia coli était le germe responsable d’infection urinaire dans 33,3% des cas ;l’association amoxicilline + acide clavulanique était le traitement probabiliste le plus représenté soit 70,1% ;le ciprofloxacine était l’antibiotique le plus utilisé sur la base d’antibiogramme soit 30% des cas ;la durée de traitement était de 7 à 14 jours soit un taux de 87,8% des cas. Conclusion : Les infections urinaires constituent un véritable problème de santé publique tant par leur fréquence que par leur difficulté de traitement. Il existe quatre types d’infection urinaire : La cystite, urétrite, pyélonéphrite, prostatite. Le diagnostic de l’infection urinaire repose sur l’examen cytobactériologique (ECBU) avec la mise en évidence des bactéries impliquées dans cette infection et l’étude de leur sensibilité à différents antibiotiques (Antibiogramme). Au cours de notre travail nous avons pu identifier quelques germes responsables d’infections urinaires : Escherichia coli, Klebsiella pneumoniae, Proteus mirabilis et streptocoque sp.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.subjectDiabètefr_FR
dc.subjectInfection urinairefr_FR
dc.subjectAntibiogrammefr_FR
dc.subjectInfectiologiefr_FR
dc.titleInfection Urinaire chez les personnes Diabétiques Ville de soutenance : Bamakofr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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