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dc.contributor.authorSy, Mahamadou
dc.date.accessioned2019-12-18T12:51:25Z
dc.date.available2019-12-18T12:51:25Z
dc.date.issued2019
dc.identifier.other19M345
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/3631
dc.description.abstractMéthode : Nous avons effectué une étude descriptive, transversale, rétrospective visant à étudier l’utilisation des services de Planification Familiale dans la commune rurale de Farako du district sanitaire de Ségou. Notre étude s’est déroulée sur 08 mois allant du 1er janvier 31 août 2019 et l’exploitation des données de la PF du 1er janvier 31 décembre 2018. Ont été concerné par notre étude deux cent neuf (209) femmes âgées de 14 – 45 ans et deux (02) agents de santé impliqués dans la prestation des services de PF. Résultats : Les femmes âgées de moins de 30 ans représentaient (62,7%) avec une moyenne d’âge de 24,5 ans ; 84% des femmes étaient mariées ; (83,2%) étaient ménagères et (67,2%) étaient non instruites. La principale source d’information des femmes était le personnel médical (information donnée juste après l’accouchement) soit 47,9%. Nous avons trouvé que 53,6% des clientes avaient utilisé une contraception antérieure. Parmi les femmes ayant utilisé une méthode contraceptive 50,7% avait abandonné leur méthode pour désir de grossesse comme principale raison d’abandon (41,2%). Le contraceptif injectable (CIP) était la méthode contraceptive la plus utilisée (67,9%) suivi de l’implant (28,7%), le DIU (2,4%) et la pilule (1%) avec une prévalence de contraception à 5,6%. Le CSRef de Ségou et l’ONG Marie Stopes International Mali étaient les sources d’approvisionnement du dépôt de vente du centre en produits contraceptifs. Parmi les deux agents responsables de l’unité PF, seulement une avait reçu la formation et le recyclage sur les méthodes contraceptives durant l’année 2018. Seulement six méthodes contraceptives étaient disponibles au centre (CIP, implant, pilule, DIU, MAMA, préservatif masculin) et le centre ne disposait pas de matériels d’insertion de DIU. Conclusion : En définitive, nous pourrons dire que le taux de prévalence de la contraception n’atteint pas le taux souhaité au niveau national (16%) ; cependant les efforts restent à faire notamment en milieu communautaire par le renforcement des IEC/CCC en matière de PF par les acteurs communautaires (relais, ASC).
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectPlanification Familiale
dc.subjectContraception
dc.subjectFarako
dc.subjectSégou
dc.titleUtilisation des services de Planification Familiale dans l’aire de santé de la commune rurale de Farako du district sanitaire de Ségou du 1er janvier au 31 décembre 2018
dc.typeThesis


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