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dc.contributor.advisorDao, Sounkalo
dc.contributor.advisorKonaté, Issa
dc.contributor.authorDiaby, Fatoumata
dc.date.accessioned2019-08-20T16:33:48Z
dc.date.available2019-08-20T16:33:48Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.other18M31
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/2009
dc.descriptionThèse d'exercice : médecine. Médecine générale : Université des Sciences des Techniques et des Technologies de Bamako, Faculté de Médecine et d'Odontostomatologie : 2018
dc.description.abstractLe but de notre étude était de décrire les aspects cliniques, diagnostiques, thérapeutiques et évolutif des cas de rages observés dans le SMI du CHU du point de 2041 à 2017. Il s'agissait d'une étude transversale avec recueil rétrospectif des donnés de Janvier 2014 à Décembre 2016 et prospective de Décembre 2016 à Décembre 2017. Etaient inclus dans cette étude tous les cas de rage humaine pendant la période de l'étude avec un dossier médical disponible. Résultats : Treize (13) cas de rage humaine ont été recensés dont 5 enfants. La plupart des victimes provenaient hors de la région de Bamako soit 8 cas, le sexe masculin représentait 100 p.100 des cas. Les patients âgés de moins de 30 ans étaient le plus représentés soit 62 p.100 . Les élèves et les cultivateurs représentaient respectivement 54 p.100 et 38 p.100 . Dans la totalité des cas l'animal en cause était le chien et le type d'exposition la morsure. Dans notre étude, l'agression était la circonstance de morsure la plus représentée avec 92 p.100 des cas. Soixante-dix-sept pourcent (77 p.100 ) des chiens avaient un statut vaccinal qui était inconnu. La morsure était la seule type d'exposition. Les membres supérieurs étaient les plus atteints avec 62 p.100, le délai d'incubation de moins de 30 jours était retrouvé dans 77 p.100 . L'hydrophobie était présente dans 62 p.100, suivi de la douleur et des signes neurovégétatifs à proportion égale, soit 38 p.100 . Le diagnostic de certitude n'a été réalisé que chez 2 de nos patients. Aucun de nos patients n'avait réalisé une prophylaxie post exposition. Le décès était constaté au maximum 5 jours après l'apparition des premiers signes Le décès était survenu dans 85 p.100 des cas.fr_FR
dc.language.isofrefr_FR
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectRageService de Maladies infectieusesHôpital du Point G
dc.titleCas de rages dans le service des maladies infectieuses du CHU du Point Gfr_FR
dc.typeThese


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