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dc.contributor.advisorTimbo, Samba Karim
dc.contributor.advisorKoné, Fatogoma Issa
dc.contributor.authorCoulibaly, Oumou
dc.date.accessioned2019-08-20T16:33:46Z
dc.date.available2019-08-20T16:33:46Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.other18M171
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/1987
dc.descriptionThèse d'exercice : médecine. Médecine générale : Université des Sciences des Techniques et des Technologies de Bamako, Faculté de Médecine et d'Odontostomatologie : 2018
dc.description.abstractLa prise en charge des cas du paludisme dans les structures sanitaires et à domicile chez l'enfant, passe par une augmentation de la reconnaissance des manifestations cliniques par le personnel médical et les parents. Elle devra aussi permettre une augmentation du taux d'utilisation correcte des MII, et des antipaludiques. Cependant la mauvaise pratique des mesures de prophylaxie explique la majorité des paludismes graves. Cette étude avait pour but d'évaluer la prise en charge du paludisme chez les enfants de moins de 5 ans au CSRéf de la commune I et le niveau des connaissances des parents sur les mesures de prévention. Elle s'est déroulée du 01 janvier au 31 décembre 2016. Au total 167 enfants âgés de 0 à 5 ans ont été inclus dans cette étude ; 52,8 p.100 étaient de de sexe masculin ; 47,2 p.100 de sexe féminin ; 55,3 p.100 avaient un âge compris entre 3 et 5 ans. Nous avons eu 141 cas du paludisme simple soit 84,40 p.100 et 26 cas du paludisme grave soit 15,60 p.100 de notre population d'étude ; la fièvre était le principal motif de consultation soit 95,6 p.100 des cas, les convulsions et la prostration ont été observées uniquement au cours du paludisme grave avec respectivement 11,5 p.100 et 15,3 p.100 ; 3,8 p.100 des cas graves ont été référés. La prise en charge du paludisme était correcte dans 65,4 p.100 des cas graves et 88,6 p.100 des cas simple. Les CTA et l'Artésunate ont été les plus utilisés ; 89,7 p.100 des parents faisaient la prévention (antipaludiques, plantes médicinales, MII), Les parents connaissaient relativement les symptômes du paludisme, les MII étaient très peu utilisées par les parents.fr_FR
dc.language.isofrefr_FR
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectProcédures de chirurgie otologiqueChirurgie otologiqueService d'otorhinolaryngologieHôpital Gabriel TouréHôpital Mère-Enfant le Luxembourg
dc.titleBilan de cinq ans de chirurgie otologique dans le service ORL du CHU Gabriel Touré et Hôpital Mère-Enfant le Luxembourg à BAMAKOfr_FR
dc.typeThese


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