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dc.contributor.authorDaou, Ousmane
dc.date.accessioned2025-03-03T10:22:15Z
dc.date.available2025-03-03T10:22:15Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13953
dc.description.abstractAu terme de notre étude, dont l’objectif général état bucco-dentaire chez les cardiopathes adultes dans le service de cardiologie du CHU-Gabriel Touré, il en ressort que : Au cours de nos six mois d’enquête, nous avons colligé 215 patients dont 100 qui répondaient à nos critères d’inclusion soit une prévalence 46,51%. Le sexe féminin était le plus dominant avec 66.0% et le sexe ratio était de 0.52. Les patients âgés de 60 ans et plus étaient les plus représenté avec 42.0% des cas. La moyenne d’âges de notre étude était de 54.12± 16.15 ans, avec les extrêmes allant de 17 - 84 ans. Les femmes au foyer la profession la plus représentée avec 51% des cas. La majorité des patients résidaient dans le district de Bamako, soit 66,0% des cas. La majorité des patients n’étaient pas diabétiques soit 90,0% des cas. Les patients ayant 3 prises alimentaires par jour ont représenté 95% des cas. La majorité de nos patients avaient des antécédents HTA, soit 76,0% des cas. La majorité de nos patients se brossaient le matin soit 97,0% des cas. La majorité de nos patients effectuaient un brossage dentaire soit 99,0% des cas. La majorité des patients utilisaient la brosse à dents soit 66% des cas. La majorité des patients utilisaient un bâtonnet frotte dent soit 79,0% des cas. La majorité des patients se brossaient une fois/ jours soit 66,0% des cas. La majorité des patients avaient une durée de brossage dentaire supérieur à trois minutes soit 62% des cas. La majorité de nos patients avaient 3-4 lésions observées soit 51,0% des cas. Il ressort de cette étude qu’il existe un lien entre la tranche d’âges et l’halitose. D’autres études sont, bien sûr, nécessaires incluant un échantillon plus large et sur des périodes plus longues. Il n’en demeure pas moins, qu’elle peut avoir une valeur prédictive ou pronostique dans le sens où sa présence peut être associée à une augmentation de la probabilité d’une aggravation d’une affection cardio-vasculaire déjà installée. Ainsi, fort de ces résultats, nous proposons quelques recommandationsfr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries18M28;
dc.subjectMaladie Parodontalefr_FR
dc.subjectAffection cardiovasculairefr_FR
dc.subjectEpidémiologiefr_FR
dc.titleEtat bucco-dentaire chez les cardiopathes adultes dans le service de cardiologie du CHU-Gabriel Touréfr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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