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dc.contributor.advisorTraoré, Hamar Alassane
dc.contributor.advisorMaiga, Youssoufa
dc.contributor.authorDzounkeo Panco, Aubry Martin
dc.date.accessioned2019-04-12T09:38:46Z
dc.date.available2019-04-12T09:38:46Z
dc.date.issued2012
dc.identifier.other12M163
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/1319
dc.descriptionThèse d'exercice : Médecine : Bamako : 2012
dc.description.abstractLes crises épileptiques constituent un motif fréquent d'admission dans les services d'urgence (SAU) à travers le monde. En Afrique sub-saharienne très peu de données existent sur leurs étiologies. Notre étude avait pour objectif de déterminer le profil épidémiologique et clinique des patients admis pour crises épileptiques inaugurales au CHU Gabriel Touré de Bamako. Il s'agissait d'une étude prospective transversale et descriptive, réalisée dans le service d'accueil des urgences (SAU) du CHU Gabriel Touré de Bamako, de juin 2010 à Juin 2011. Ont été inclus les malades admis pour crises épileptiques inaugurales. Le diagnostic de la crise était retenu sur des bases strictement cliniques (interrogatoire et examen physique). Au cours de l'étude, 56 patients ont été admis au SAU. La moyenne d'âge était de 35,21 ans. Le sexe masculin était le plus représenté (69.6 p.100). La majorité des patients (80.4 p.100) ne prenait aucun médicament au moment de l'admission. Dans les étiologies nous retrouvons : causes infectieuses (42, 9 p.100) ; traumatismes crâniens (17,9 p.100) ; pathologies neuro-vasculaires (16,1 p.100) ; tumorale (3,6 p.100) ; métabolique (5,4 p.100) ; indéterminées (12, 5 p.100). La crise tonico-clonique généralisée était la plus représentée (64 p.100). Dans notre effectif, 27 patients ont accepté (accord du patient ou de la famille) de faire une sérologie à VIH, dont 37,03 p.100 avaient une sérologie positive. 11 patients (19,6 p.100) avaient un neuropaludisme à plasmodium falciparum avec une goutte épaisse fortement positive. Quant à l'itinéraire des patients, 64,3 p.100 furent conduits directement du domicile au SAU. Le diazépam était la molécule la plus utilisée en urgence (83.9 p.100). Les crises épileptiques sont fréquentes au SAU. En Afrique, leurs présence doit conduire à un bilan infectieux (infection à VIH, paludisme cérébral).Les causes liées à l'alcool sont rares dans le contexte du MALI.fr_FR
dc.language.isofrefr_FR
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectEpilepsie
dc.subjectGabriel Touré
dc.titleEtude épidémio-clinique des crises épileptiques inaugurales au Service d'Accueil des Urgences du CHU Gabriel Touréfr_FR
dc.typeThese


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