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dc.contributor.authorMaiga, Djibril
dc.date.accessioned2024-02-22T07:31:29Z
dc.date.available2024-02-22T07:31:29Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/12936
dc.description.abstractPour lutter contre le paludisme, l’utilisation des vaccins semble être prometteuse. Des recherches sur les vaccins sont en cours sur plusieurs sites au Mali. C’est ainsi qu’à Kalifabougou et environs, l’essai clinique d’un vaccin à base d’anticorps monoclonaux appelé CIS43LS (Section 43 de l'Immunologie Cellulaire - Lysine et Sérine) contre le paludisme est en cours d’expérimentation. Pour mettre à jour les données sur la transmission du paludisme, nous avons entrepris la présente étude pour évaluer les paramètres entomologiques de la transmission du paludisme à Kalifabougou et dans ses villages environnants. De mai 2022 à avril 2023, les moustiques ont été collectés mensuellement par pulvérisation intracommunautaire pour la collecte de données permettant d’accéder aux paramètres entomologiques de la transmission du paludisme. Il ressort de cette étude que le complexe An. gambiae est principalement le vecteur du paludisme dans cette localité et qu’An. funestus est en voie de disparition (2471 An. gambiae s.l collectés et seulement un seul An. funestus collecté). Parmi les trois espèces (An. coluzzii, An. arabiensis et An. gambiae) qui composent An. gambiae s.l, le plus prédominant était An. coluzzii (74 % pendant la saison des pluies, 76 % pendant la saison sèche fraîche et 90 % pendant la saison sèche chaude). An. arabiensis et An. gambiae avaient de faibles fréquences et An. gambiae était absent pendant la saison sèche chaude. Les densités par maison variaient d’un village à l’autre et selon les saisons (élevée pendant la saison des pluies et faible en saison sèche). Dans cette localité, les densités moyennes les plus élevées étaient à peine supérieures à 5 moustiques par case. Cela conduit à un faible niveau de transmission car les taux mensuels d’inoculation entomologique dépassaient rarement une piqûre infectante par homme pendant tous les mois dans aucun des villages (0,1 à 1,29 piqûres infectantes par homme et par mois). Toutefois, la transmission du paludisme était pérenne dans la zone de Transmission vectoriellefr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24M103;
dc.subjectEpidémiologiefr_FR
dc.subjectMédecine tropicalefr_FR
dc.subjectPolitique de santéfr_FR
dc.subjectRecherche biomédicalefr_FR
dc.subjectSanté publiquefr_FR
dc.subjectPaludismefr_FR
dc.subjectLutte antivectoriellefr_FR
dc.subjectTransmission vectoriellefr_FR
dc.subjectAnopheles gambiae s.lfr_FR
dc.subjectTaux d’inoculation entomologiquefr_FR
dc.subjectKalifabougoufr_FR
dc.titleTransmission vectorielle du paludisme à Kalifabougou et villages environnants dans le cercle de Kati, Malifr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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